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Il est inutile de ’envoyer la calèche, j’avais été faussement averti. Me voilà en quarantaine avec la perspective de rester prisonnier pendant 14 jours après quoi j’espère être à vos pieds.

Ecrivez-moi, je vous supplie, à la quarantaine de Platava. Je crains que je ne vous aie fâchée. Vous me pardonneriez si vous saviez tous les désagréments que j’ai eu à cause de cette peste. Au moment où j’allais partir, au commencement d’octobre, on me nomme inspecteur de district charge que j’aurais acceptée absolument, si en même temps je n’eus appris que la Choléra était à Moscou. J’ai eu toutes les peines du monde en me débarrasser. Puis vient la nouvelle de ce que Moscou est cerné, que l’entrée en est défendue. Puis mes malheureuses tentatives d’évasion, puis la nouvelle que vous n’aviez pas quitté Moscou enfin votre dernière lettre qui m’a mis au désespoir. Comment avez-vous eu le courage de l’écrire? Comment avez-vous pu croire que je restais confiné à à cause de cette sacrée princesse Galitzine? connaissez-vous cette princesse Galitzine? A elle seule elle est grosse comme toute votre famille, y compris moi. En vérité je suis prêt à être dur de nouveau. Mais enfin me voilà en quarantaine et pour le moment je ne désire rien de plus. , , !

n’est plus cerné les quarantaines ont été anéanties à Vladimir la veille de mon départ. Cela ne m’a pas empêché d’être retenu près de Sévasieika, vu que le gouverneur avait négligé d’envoyer savoir à l’inspecteur que la quarantaine n’existait plus. Si vous pouviez vous imaginer seulement le quart des désordres que ces quarantaines ont entraîné, vous ne concevriez pas comment on peut s’en débarrasser. Adieu. Mes respectueux hommages à maman. Je salue de tout mon coeur M-lles vos soeurs et M-r Serge.

Platava.

2 déc.

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